Un génial faussaire Charles Bonnet a prêté pour une exposition, une statuette censée être une sculpture de Cellini, artiste italien de la renaissance. Les assureurs souhaitent expertiser l'objet garanti , une catastrophe pour Charles Bonnet qui sait très bien qu'elle fut réalisée par son père dont il a hérité les talents de faussaire.
Sa fille organise avec l'aide de celui qu'elle croit être un cambrioleur le vol de la statuette...
Lors de sa présentation, Claude Jean Philippe nous avait prévenu que le film tenait plus pour la prestation éblouissante d'Audrey Hepburn que pour le talent du metteur en scène. Il ne nous avait pas menti, il faut en convenir, cette comédie qui se déroule à Paris tient plus des films de Gérard Oury que de ceux des maitres d'Hollywood: Howard Hawks ou Ernst Lubitsch.
Sa fille organise avec l'aide de celui qu'elle croit être un cambrioleur le vol de la statuette...
Lors de sa présentation, Claude Jean Philippe nous avait prévenu que le film tenait plus pour la prestation éblouissante d'Audrey Hepburn que pour le talent du metteur en scène. Il ne nous avait pas menti, il faut en convenir, cette comédie qui se déroule à Paris tient plus des films de Gérard Oury que de ceux des maitres d'Hollywood: Howard Hawks ou Ernst Lubitsch.
William Wyler, le réalisateur de l'indigeste Ben Hur, né à Mulhouse a dû se rappeler ses origines françaises tant sa comédie a des accents franchouillards, n'évitant aucune caricature, il ne manquait que le béret et le camembert mais la bouteille de vin était bien là.
Audrey Hepburn, habillée magnifiquement par Givenchy, nous fait oublier rapidement les lourdeurs de ce film, elle illumine l'écran. Elle forme un couple convaincant avec Peter O'Toole même si ce dernier n'a pas la grâce d'un Cary Grant...
C'était un joyeux divertissement pour un dimanche matin !
Audrey Hepburn, habillée magnifiquement par Givenchy, nous fait oublier rapidement les lourdeurs de ce film, elle illumine l'écran. Elle forme un couple convaincant avec Peter O'Toole même si ce dernier n'a pas la grâce d'un Cary Grant...
C'était un joyeux divertissement pour un dimanche matin !
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