Une femme étendue sur le sol, est secourue par un monsieur âgé, elle refuse qu'il appelle les secours, il lui propose son hospitalité. Elle commence alors la confession de sa vie de nymphomane depuis la découverte du plaisir sexuel dans son enfance. Le vieil homme par analogie fait des parallèles entre la vie de la jeune femme et ses propres expériences de pécheur à la mouche ou la musique polyphonique de Bach....
Nous avons jamais eu grand goût pour les confessions des "addicts" quels qu'ils soient. Discours souvent égocentriques avec un dégout de soi, ils sont la révélation d'une grande solitude. le film n'échappe pas à la règle, il se révèle souvent ennuyeux, parfois drôle malgré lui par le ridicule de certains propos dont on peut citer en exemple un catalogue de bites de la petite jaune à la grosse noire, mais aussi sublime quand il filme la jeune femme à l’hôpital faisant raconter une dernière fois à son père à l'agonie l'histoire sur les frênes qu'il lui racontait lorsqu'elle était jeune enfant... "Shame" de Steve MacQueen avait filmé la même solitude mais sans chercher à donner une explication, un film plus silencieux, sombre tout aussi désespéré et finalement plus passionnant
Ce que confirme ce film, c'est que Lars Von Trier est un grand cinéaste, chaque plan le prouve... Un grand cinéaste mais un homme sombre, mélancolique, pathétique lorsqu'il joue la victime bâillonnée et nous fait la leçon à travers son personnage sur la différence entre Antisionisme et Antisémitisme comme pour se justifier de ses errements passés. La jeune héroïne avec sa copine créent une association de jeunes femmes qui a pour finalité de baiser sans amour avec des règles assez strictes comme ne jamais faire l'amour deux fois avec le même homme... la finalité est de tuer l'amour. Les règles ne sont rapidement plus respectées, le club a une vie assez courte. Nous avons vu là le parallèle avec le Dogma, "club de cinéastes" qui avaient édicté des règles de mise en scène radicales, avec une farouche volonté de détruire des canons considérés comme bourgeois.
Nous avons jamais eu grand goût pour les confessions des "addicts" quels qu'ils soient. Discours souvent égocentriques avec un dégout de soi, ils sont la révélation d'une grande solitude. le film n'échappe pas à la règle, il se révèle souvent ennuyeux, parfois drôle malgré lui par le ridicule de certains propos dont on peut citer en exemple un catalogue de bites de la petite jaune à la grosse noire, mais aussi sublime quand il filme la jeune femme à l’hôpital faisant raconter une dernière fois à son père à l'agonie l'histoire sur les frênes qu'il lui racontait lorsqu'elle était jeune enfant... "Shame" de Steve MacQueen avait filmé la même solitude mais sans chercher à donner une explication, un film plus silencieux, sombre tout aussi désespéré et finalement plus passionnant
Ce que confirme ce film, c'est que Lars Von Trier est un grand cinéaste, chaque plan le prouve... Un grand cinéaste mais un homme sombre, mélancolique, pathétique lorsqu'il joue la victime bâillonnée et nous fait la leçon à travers son personnage sur la différence entre Antisionisme et Antisémitisme comme pour se justifier de ses errements passés. La jeune héroïne avec sa copine créent une association de jeunes femmes qui a pour finalité de baiser sans amour avec des règles assez strictes comme ne jamais faire l'amour deux fois avec le même homme... la finalité est de tuer l'amour. Les règles ne sont rapidement plus respectées, le club a une vie assez courte. Nous avons vu là le parallèle avec le Dogma, "club de cinéastes" qui avaient édicté des règles de mise en scène radicales, avec une farouche volonté de détruire des canons considérés comme bourgeois.
Nous ne savons que penser de ce film, si ce n'est qu'il serait sage pour son auteur de partir à la pêche à la mouche, sublime sport,pour trouver la sérénité au cœur de la nature danoise.
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