Le film s'ouvre sur un mariage, un ami du père de la mariée fait l'éloge du couple et souligne la chance que la jeune femme a eu de choisir librement son époux, une situation impossible de son temps. Mais lorsqu'il découvre que sa propre fille est amoureuse d'un homme qu'il ne connait pas et qu'ils souhaitent se marier, il rentre dans une colère noire, interdisant à sa fille de sortir la maison... mais les temps changent, les jeunes filles solidaires s'organisent.... et finissent par piéger le père qui n'a pas d'autre choix que d'accepter à contrecœur le choix de sa fille...
Il n'y a pas grand chose à dire sur le cinéma d'Ozu qui s'impose au spectateur avec évidence, Fleurs d’équinoxe est son premier film en couleurs, c'est la seule innovation de ce film où Ozu reprend ce thème qui est lui cher, la relation parents enfants.... caméra au ras du sol, les plans sont millimétrés c'est un art du détail totalement maitrisé, c'est une leçon d'élégance et de raffinement où à travers une chronique intimiste et familiale, le cinéaste scrute sans émettre le moindre jugement les changements sociétals... les anciens se retrouvent dans des bars traditionnels partageant le saké alors que la jeune génération préfère les bars de type américain, et le Whisky...
Nous ne nous lassons pas de ce cinéma raffiné sans égal, de l'humour subtil du cinéaste et de son gout immodéré pour la vie... Ozu est le plus grand des contemplatifs
Il n'y a pas grand chose à dire sur le cinéma d'Ozu qui s'impose au spectateur avec évidence, Fleurs d’équinoxe est son premier film en couleurs, c'est la seule innovation de ce film où Ozu reprend ce thème qui est lui cher, la relation parents enfants.... caméra au ras du sol, les plans sont millimétrés c'est un art du détail totalement maitrisé, c'est une leçon d'élégance et de raffinement où à travers une chronique intimiste et familiale, le cinéaste scrute sans émettre le moindre jugement les changements sociétals... les anciens se retrouvent dans des bars traditionnels partageant le saké alors que la jeune génération préfère les bars de type américain, et le Whisky...
Nous ne nous lassons pas de ce cinéma raffiné sans égal, de l'humour subtil du cinéaste et de son gout immodéré pour la vie... Ozu est le plus grand des contemplatifs
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