Le "film du dimanche soir" nous a toujours semblé être un concept un peu flou, peut être parce qu'il n'est qu'un compromis : passer un bon moment tout en sachant que nous n'allons pas vivre un grand moment de cinéma. Nous avons pensé hier au soir que Gatsby Le Magnifique de Jack Clayton
pouvait facilement entrer dans cette catégorie, peut être parce que
Robert Redford y tient le premier rôle avec Mia Farrow.c'est d'ailleurs là une grande différence entre la littérature et le cinéma, il est parfois supportable de regarder un film sans qualité.
Nous avons beaucoup aimé le premier quart d'heure, la reconstitution de l'Amérique de l'entre deux guerres est particulièrement soignée. il n'y a pas beaucoup inventivité dans la mise en scène mais c'est avec un certain plaisir que nous plongeons dans cette époque aujourd'hui disparue. Les robes sont sublimes, les couples dansent avec élégance, en ce temps là les gens riches avaient un certain sens de l'élégance, cela correspond totalement à notre vision fantasmée de ce temps là.
Mais la première rencontre entre Gatsby et Daisy cette femme tant désirée dans ses jeunes années qu'il n'a pu épouser parce qu'il était sans fortune, tombe dans une mièvrerie vite ridicule, ridicule confirmé par la présence d'un cygne dans un premier plan. Les fondus enchainés ne font qu'amplifier cette impression de mauvais mélo. Le film traine en longueur, nous finissons par nous ennuyer nous aussi aux soirées de Gatsby...
Il est assez facile d'adapter l'histoire de Gatsby, dont la trame est assez simple, mais ce qui reste impossible au cinéaste c'est de rendre la magie de l'écriture de Francis Scott Fitzgerald !
Nous avons beaucoup aimé le premier quart d'heure, la reconstitution de l'Amérique de l'entre deux guerres est particulièrement soignée. il n'y a pas beaucoup inventivité dans la mise en scène mais c'est avec un certain plaisir que nous plongeons dans cette époque aujourd'hui disparue. Les robes sont sublimes, les couples dansent avec élégance, en ce temps là les gens riches avaient un certain sens de l'élégance, cela correspond totalement à notre vision fantasmée de ce temps là.
Mais la première rencontre entre Gatsby et Daisy cette femme tant désirée dans ses jeunes années qu'il n'a pu épouser parce qu'il était sans fortune, tombe dans une mièvrerie vite ridicule, ridicule confirmé par la présence d'un cygne dans un premier plan. Les fondus enchainés ne font qu'amplifier cette impression de mauvais mélo. Le film traine en longueur, nous finissons par nous ennuyer nous aussi aux soirées de Gatsby...
Il est assez facile d'adapter l'histoire de Gatsby, dont la trame est assez simple, mais ce qui reste impossible au cinéaste c'est de rendre la magie de l'écriture de Francis Scott Fitzgerald !
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