Un nouveau film sur la fin du monde, 4h44 est l'heure précise à laquelle l'évènement tragique doit se produire. Nous sommes quelques heures avant la fin prévue, au coeur de New-York dans l’appartement d'un couple Cisco (William Dafoe) et Skye (Shanyn Leigh). Elle, peintre finit une oeuvre en cours, lui est fixé sur les écrans entre la télévision et son ordinateur où il discute une dernière fois avec ces proches via Skype, ils se retrouvent une dernière fois dans leur lit pour faire l'amour... La télévision rend compte de rassemblements à Rome où le papa donne l’extrême onction à la foule,à La Mecque ou à Jérusalem.
C'est la fin du monde, mais rien ne semble avoir changé, les voitures circulent normalement dans la rue, le restaurant vietnamien livre toujours ses repas, seul un homme se jette par la fenêtre, ou une jeune femme crie dans la rue "I don't want to die"...A part ces "pétages de plomb", l'heure est plutôt sereine... Contrairement à Mélancholia de Lars Von Trier, la fin du monde n'est pas due ici à un choc entre deux planètes, mais à l'action des hommes qui a définitivement détruit la couche d'Ozone. Al Gore apparait sur les écrans il avait alerté en son temps la catastrophe à venir... mais il ne fut pas écouté. Il est trop tard !
Nous avons aimé ce film de Abel Ferrara, une fable écologique, un cri d'alarme, il est peut être temps d'écouter Al Gore. Un cri contre la capacité auto destructrice des pouvoirs de l'argent, mais avec une forme de sérénité que nous ne connaissions pas au cinéaste qui à travers buddah semble avoir trouvé une forme de "Zénitude". C'est diablement bien filmé avec deux acteurs remarquables, Abel Ferrara intègre parfaitement les nouveaux outils de communication dans son scénario ouvrant une fenêtre sur la mythique Anita Pallenberg pour une apparition remarquée, le temps d'une conversation via Skype.
Nous avons aimé le dernier film d'Abel Ferrara !
C'est la fin du monde, mais rien ne semble avoir changé, les voitures circulent normalement dans la rue, le restaurant vietnamien livre toujours ses repas, seul un homme se jette par la fenêtre, ou une jeune femme crie dans la rue "I don't want to die"...A part ces "pétages de plomb", l'heure est plutôt sereine... Contrairement à Mélancholia de Lars Von Trier, la fin du monde n'est pas due ici à un choc entre deux planètes, mais à l'action des hommes qui a définitivement détruit la couche d'Ozone. Al Gore apparait sur les écrans il avait alerté en son temps la catastrophe à venir... mais il ne fut pas écouté. Il est trop tard !
Nous avons aimé ce film de Abel Ferrara, une fable écologique, un cri d'alarme, il est peut être temps d'écouter Al Gore. Un cri contre la capacité auto destructrice des pouvoirs de l'argent, mais avec une forme de sérénité que nous ne connaissions pas au cinéaste qui à travers buddah semble avoir trouvé une forme de "Zénitude". C'est diablement bien filmé avec deux acteurs remarquables, Abel Ferrara intègre parfaitement les nouveaux outils de communication dans son scénario ouvrant une fenêtre sur la mythique Anita Pallenberg pour une apparition remarquée, le temps d'une conversation via Skype.
Nous avons aimé le dernier film d'Abel Ferrara !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire