Nous ne ferons pas très long avec le film de Benh Zeilin auquel nous n'avons pas du tout adhéré. Très rapidement fatigués par la caméra portée à l'épaule et la succession des gros plans; nous n'avons pas été émus par l'histoire de ces habitants du Bayou qui refusent de quitter leur domaine condamné à disparaitre sous les eaux. Ils se défendent comme ils peuvent, faisant sauter une digue pour se libérer des eaux suite à une tempête. Pauvres mais solidaires, ils semblent condamnés à être dévorés par les "aurochs" tels les hommes de la préhistoire se faisant chasser de leur caverne par ces bovidés selon la légende.
Raconté à travers le regard d'une jeune fille Hushpuppy, orpheline de mère et dont le père malade est à bout de souffle, ce désastre écologique ne nous laisse pas insensibles; cette région merveilleuse du sud de la Louisiane semble vouée à disparaitre sous les eaux devant la montée inexorable du niveau de la mer. C'est tout un écosystème qui est condamné.
Mais voila le poème lyrique de Benh Zeilin nous a laissé de marbre ! Mais nous devons confesser que ne nous sommes pas non plus des grands fans du cinéma de Terence Malick, souvent cité comme source d'inspiration du jeune cinéaste.
Mais voila le poème lyrique de Benh Zeilin nous a laissé de marbre ! Mais nous devons confesser que ne nous sommes pas non plus des grands fans du cinéma de Terence Malick, souvent cité comme source d'inspiration du jeune cinéaste.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire