Le "crunch" est un des derniers rendez vous sportifs pour lequel nous avons encore un intérêt. Peut être en souvenir de cette année où nous avions partagé une rame de métro avec des basques et des anglais pour rejoindre le stade de France. L'orchestre basque se mit à jouer God Save the Queen pour faire honneur aux supporters anglais. Les anglais d'abord sur la réserve , furent finalement obligés de chanter leur hymne sous la pression amicale des musiciens....un vrai moment de jovialité!
Exceptionnellement nous n'avons pas regardé en direct le France Angleterre car nous avions au programme une soirée théâtre, soirée magnifique d'ailleurs...
Et nous étions tendus en attendant la pluie tombée sur le toit du théâtre, pluie qui n' a jamais fait bon ménage avec le jeu des français.
Les anglais ont été décevants depuis le début du tournoi, mais ils sont toujours présents quand il s'agit de rencontrer la France. Et avouons le sur ce match ils nous furent supérieurs, plus ambitieux dans le jeu, ils sont d'ailleurs les auteurs du seul essai du match...une action classique avec un ballon envoyé en trois passes à l'arrière idéalement décalé en position d'ailier pour aller aplatir dans l'enbut français. Et ils ne furent pas loin de rééditer l'exploit butant sur Poitrenaud en dernier défenseur ou victime d'un rebond défavorable.
Les français n'ont jamais semblé en mesure de marquer le moindre essai dans ce match, entrant rarement dans les 22 mètres anglais. Jeu limité reposant uniquement sur la force de la mêlée reprenant à leur compte la maxime anglaise "no scrum, no win" , mêlée qui par sa force mit les anglais à la faute et permit à notre buteur d'alimenter le score .
Et ensuite nous avons surtout défendu pour empêcher les vagues anglaises de franchir notre défense et l'action la plus impressionnante de la rencontre fut le plaquage de Dusautoir sur le troisième ligne Joe Worsley. Le dernier quart d'heure fut angoissant, les français se débarassant systématiquement du ballon, essayant de renvoyer les anglais dans leur camp pour ne pas mettre le buteur Wilkinson en position trop favorable.
Jeu minimaliste, certes une équipe est peut être née ce soir..... mais le niveau de jeu proposé n'est surement pas suffisant pour espérer remporter la prochaine coupe du monde!
Et nous étions tendus en attendant la pluie tombée sur le toit du théâtre, pluie qui n' a jamais fait bon ménage avec le jeu des français.
Les anglais ont été décevants depuis le début du tournoi, mais ils sont toujours présents quand il s'agit de rencontrer la France. Et avouons le sur ce match ils nous furent supérieurs, plus ambitieux dans le jeu, ils sont d'ailleurs les auteurs du seul essai du match...une action classique avec un ballon envoyé en trois passes à l'arrière idéalement décalé en position d'ailier pour aller aplatir dans l'enbut français. Et ils ne furent pas loin de rééditer l'exploit butant sur Poitrenaud en dernier défenseur ou victime d'un rebond défavorable.
Les français n'ont jamais semblé en mesure de marquer le moindre essai dans ce match, entrant rarement dans les 22 mètres anglais. Jeu limité reposant uniquement sur la force de la mêlée reprenant à leur compte la maxime anglaise "no scrum, no win" , mêlée qui par sa force mit les anglais à la faute et permit à notre buteur d'alimenter le score .
Et ensuite nous avons surtout défendu pour empêcher les vagues anglaises de franchir notre défense et l'action la plus impressionnante de la rencontre fut le plaquage de Dusautoir sur le troisième ligne Joe Worsley. Le dernier quart d'heure fut angoissant, les français se débarassant systématiquement du ballon, essayant de renvoyer les anglais dans leur camp pour ne pas mettre le buteur Wilkinson en position trop favorable.
Jeu minimaliste, certes une équipe est peut être née ce soir..... mais le niveau de jeu proposé n'est surement pas suffisant pour espérer remporter la prochaine coupe du monde!
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