dimanche 23 août 2015

While we're young - Noah Baumbach

Josh et Cornelia forment un couple heureux, ils ont su surpasser la déception de ne pas avoir d'enfants. Josh est documentariste, il donne également des cours à l'université, alors que Cornelia est productrice de son père également documentariste... Leurs meilleurs amis  viennent d'avoir un  enfant dont ils  sont complétement gagas, organisant désormais toute leur vie autour de lui. Ils ont la quarantaine, un âge où l'on fait un premier bilan de sa vie et on commence à mesurer que les rêves de nos jeunes années ne vont pas se réaliser, un constat qui peut être amer notamment pour Josh qui n'arrive pas à terminer un documentaire commencer depuis plusieurs années.
A la fin d'un cours, Josh est approché par Jamie, le professeur est touché par l'attention du jeune homme qui semble connaitre et admirer son œuvre. Il engage rapidement une amitié avec lui et sa jeune épouse Darbie, entrainant dans ce nouveau cercle son épouse Cornélia pourtant rétive de se mêler à un groupe d'étudiants . Ils délaissent rapidement leurs anciens  amis pour suivre les deux jeunes gens et leur mode de vie sans se rendre compte que Jamie est un manipulateur qui cherche à utiliser le savoir faire de Josh et les relations de Cornelia pour mener à bien un projet de documentaire...
Le scénario est bien ciselé, ce film n'est pas sans faire penser à ceux de Woody Allen, mais il y a presque un coté trop sage qui le rend parfois  ennuyeux. Ce n'est ni une comédie très corrosive, ni un thriller manipulateur; il nous semble que Noah Baumbach n'a jamais trouvé le ton de son film  et celui-ci en devient sans saveur, tout cela manque sévèrement d'épices.  Heureusement la présence de Naomie Watts toujours parfaite maintient tout au long du film notre intérêt, Ben Stiller lui a parfois une tête de chien battu un peu agaçant. Un film que nous risquons d'oublier rapidement !

samedi 22 août 2015

Le crunch 101 eme

Un scénario difficilement prévisible tant la supériorité de l'Angleterre dont tous les cadors étaient de retour nous semblait évident sur le papier. C'est surement la combinaison des bienfaits d'une préparation physique intense et le fait que les avants anglais ont peut être sous-estimé leurs adversaires, mais ce sont bien les Français qui ont dominé dans un premier temps les débats, mettant les Anglais sur le reculoir et les poussant à la faute. Une aubaine pour nos buteurs et notamment Frédéric Michalak qui a saisi l'occasion pour devenir le recordman de points marqués en équipe de France avec désormais 394 points.
Un total finalement modeste qui révèle que l'équipe de France n'a jamais connu dans son histoire de grands buteurs réguliers au plus haut niveau... 
Une domination certes mais un jeu toujours aussi pauvre seul un exploit personnel de Yoann Huguet nous a permis de marquer un essai alors que notre domination aurait du nous amener plus souvent derrière la ligne d'en but. Un problème récurrent qui ne nous a interdit de nous mettre à l'abri... Les dix dernières minutes ont été éprouvantes, les Anglais nous plantant aisément deux essais leur donnant l'espoir de renverser dans les dernières minutes le score... en vain !
Un match encourageant mais un niveau de jeu toujours trop faible pour espérer faire trembler les équipes de l'hémisphère sud. Les Bleus encaissent trop facilement des essais et montrent trop de difficulté à en marquer. Il reste du boulot... L'envie ne suffira pas pour gagner la coupe du monde, mais battre les Anglais reste toujours un plaisir  !

King Kong - Merian C. Cooper (1933)

Carl Denham, un cinéaste  prépare un long voyage en bateau dont il maintient la destination secrète,  il doit y effectuer le tournage de son niveau film. Cet aspect énigmatique effraie les actrices peu attirées par le coté aventurier du cinéaste, il n'a pas d'autres choix que d'embaucher une jeune femme au chômage, Ann Darrow. Cette présence féminine n'enchante guère le second de l'équipage, Jack Driscoll... mais cette dernière est irrésistible et le marin ne tarde pas à succomber aux charmes de la belle blonde.
Une fois le voyage bien engagé le cinéaste révèle la destination finale: au delà de Sumatra, l'île de Skul Island qui n'apparait pas sur les cartes de navigation mais dont l'existence lui fut révélée par un norvégien rencontré du coté de Singapour. La légende veut qu'un mur coupe l'ile en deux pour protéger les indigènes d'une bête monstrueuse, Kong.
Sceptiques, les marins finissent par découvrir au milieu du brouillard l'île où débarque une partie de l'équipage  alors que les indigènes sont au milieu d'une cérémonie durant laquelle une jeune femme de la tribu doit être donnée en offrande à Kong... Mais la découverte de la jeune femmes aux cheveux de feu perturbent les indigènes , ils souhaitent l’échanger contre six femmes pour l'offrir à Kong... Le cinéaste fait alors le choix de retourner au large sur le navire. mais les indigènes viennent kidnapper la jeune femme donnée immédiatement à Kong qui s'enfonce avec la jeune femme sous les bras au cœur de la jungle...
Le cinéaste, Jack Driscoll et des hommes de l'équipage se lancent à leurs trousses,  ils doivent affronter des dinosaures, bêtes monstrueuses d'un autre temps, Driscoll et le cinéaste se retrouvent seuls survivants.  Driscoll poursuit seul Kong pour sauver sa belle alors que son dernier compagnon repart vers le bateau chercher des renforts. Driscoll parvient à récupérer la belle Ann, déclenchant le courroux de Kong... Le monstre est finalement endormi,capturé et embarqué sur le bateau jusqu'à New-York.. Exposé dans un théâtre, où il revoit Ann, énervé par les flashs des journalistes qui décuplent sa colère, il se libère de ses chaines déclenchant un mouvement de panique de la foule venue en nombre. Il parvient à récupérer Ann et l'embarque avec lui en haut de l'Empire State Building...

Moins féérique que  La belle et la bête tournée des années plus tard, parfois aussi bête que Tintin au Congo quand le regard du cinéaste n'a rien à envier à celui du colonisateur blanc certain de sa supériorité, King Kong et ses effets spéciaux qui n'échappent plus à grand monde garde son coté magique. C'est par exemple bien supérieur à Tarzan l'homme singe tourné l'année précédente, et finalement nous avons toujours plus de plaisir à revoir cette version primitive rythmée parles cris effrayés Fay Wray que celle plus aboutie  technologiquement mais tellement  moins poétique de Peter Jackson. Peut être aussi, parce qu'elle nous donne l'impression de retrouver le regard incrédule de nos jeunes années... Le film fut coupé après  sa sortie de plusieurs scènes, notamment celle où le monstre troublé par la beauté de cette femme blanche et blonde s'amuse à l'effeuiller pour découvrir ses formes, et renifler ses odeurs... censure révélant ainsi une pudibonderie croissante dans le cinéma américain des années 30 , tout comme Jane voit ses robes s'allonger tout au long des épisodes de Tarzan alors qu'elle nageait nue dans le tout premier. Une version conforme à l'original fut de nouveau montrée au début des années 70, elle est celle que nous avons revue...
Nous aimons toujours revoir ce film d'aventures où "le monstre" fut créé par le cinéaste lui même qui n'alla point chercher dans la bande dessinée ou la littérature son inspiration, King Kong est une invention propre au cinéma.
De par le succès du film, il entra immédiatement dans la culture populaire et le personnage fut repris par la suite sous différentes formes...
Film vu dans le cadre du ciné club de Potzina 

vendredi 21 août 2015

Ernesto Sabato - Le tunnel

"Il suffira de dire que je suis Juan Pablo Castel le peintre qui a tué Maria Iribarne; je suppose que le procès est resté dans toutes les mémoires et qu'il n'est pas nécessaire d'en dire plus sur ma personne."
Aucune surprise à attendre puisque l'auteur dit nous livrer tout  en ouverture de roman, mais il montre un vrai talent pour stimuler la curiosité du lecteur qui ne peut se satisfaire de ce simple aveu. Chronique d'un assassin, d'un homme rongé par la jalousie qui  le mène à tuer celle qu'il aime . Juan Pablo Castel est un peintre reconnu mais aussi un misanthrope. Lors du salon de peinture de 1946, il présente un tableau "la maternité" mais, il n'attend pas grand chose de cette exposition détestant cordialement toutes critiques d'art même si elles lui sont généralement favorables.  Il découvre une jeune femme observant attentivement son œuvre, le regard attiré plus particulièrement par une scène de second plan d'une femme regardant la mer par la fenêtre d'une maison, une scène que personne n'a remarqué... Cela a le don de  l'émouvoir, de créer une connivence qu'il n'a jamais connue  avec une autre.
Il perd la jeune femme de vue mais le hasard lui permet de la retrouver, de s'imposer à elle alors qu'elle est mariée à un homme aveugle. Ils s'aiment et il voudrait que cet amour soit exclusif, chaque rencontre est l'occasion d'un interrogatoire, il se repend avant de replonger dans la jalousie excessive. La jeune femme décide de chercher le calme dans l'hacienda d'un cousin, il la retrouve.... Une jalousie sans fin qui mène le peintre à tuer celle qu'il aime.
C'est un court roman qui se lit d'une seule traite ; on se lance dans la confession du criminel dévoré par la jalousie, nous découvrons le système d'un homme qui a perdu le sens commun pour qui, tout évènement est utilisé pour nourrir la jalousie, créant un véritable chaos , un monde absurde sans issue. Ecrit dans les années 40 quand l'Argentine  confrontée à une série de crises subissait  la violence au quotidien, cet ouvrage développe une pensée reprise plus tard par l'auteur dans son essai Hommes et engrenages:

"L'être humain semble se trouver dans le monde comme un étranger solitaire et désemparé."

Le tunnel est un texte magnifique sur incommunicabilité, la solitude de l’être humain, il n'est pas étonnant qu'il est enthousiasmé Albert Camus tant ce texte est proche par ses thèmes à celui de l'étranger... Un roman phare de la littérature argentine du XX° siècle d'un auteur majeur au coté de Jorge Luis Borges !

lundi 17 août 2015

Dror Mishani - Une disparition inquiétante

Le commandant Avraham Avraham n'est pas vraiment impressionné lorsqu'une mère de famille vient déclarer la disparition de son fils qui n'est pas revenu du lycée. Habitué des fugues d'adolescents, il cherche surtout à rassurer la mère, persuadé que l'adolescent va réapparaitre. Il lui vend même sa théorie toute personnelle sur le fait qu'il n'existe pas de littérature policière en Israël:

"Parce que chez nous on ne commet pas de tels crimes. Chez nous, il n'y a pas de tueurs en série, pas d’enlèvement et quasiment pas de violeurs qui agressent les femmes dans la rue. Chez nous, si quelqu'un est assassiné, c'est en général le fait d'un voisin, de l'oncle ou de grand-père, pas besoin d'une enquête compliquée pour découvrir le coupable et dissiper le malheur."

Version optimiste car Ofer Sharabi ne réapparaît pas, il y a bien une disparition mystérieuse et Avraham Avraham culpabilise d'avoir pris cette affaire à la légère. Flic solitaire, célibataire, il se passionne pour les séries policières, dont il aime à relever les incohérences. Plus l’enquête avance, plus le mystère s’épaissit dans cette bourgade tranquille de la banlieue de Tel-Aviv.  Un voisin, professeur d'anglais connait bien le jeune homme  pour lui avoir donné des cours particuliers.Lui même, passionné par la littérature policière et aspirant écrivain  ne peut s’empêcher d’interférer dans  l'enquête en laissant des messages anonymes dans la boite aux lettres de la famille Sharabi. Avraham Avraham se retrouve finalement confronté à une affaire pas banale...

Notre première rencontre avec un roman policier israélien nous permet de découvrir un pan de la société israélienne, celle de la nouvelle génération qui a grandi dans les quartiers de banlieue, bien loin des Kibboutz. Un  ouvrage passionnant dont l'auteur Dror Mishani, universitaire spécialiste de littérature policière fait à travers cette première aventure du commandant Avraham un essai théorique sur le roman d'un genre dont il connait parfaitement tous les codes.
Pour découvrir une interview passionnante à lire de Dror Mishani, cliquez ici !

samedi 15 août 2015

Crunch - 100 eme


Ce crunch n'avait rien de croustillant, match de préparation de la coupe du monde il est venu confirmer que l'équipe de France n'avait toujours pas de fond de jeu, et qu'elle est finalement bien embêtée de se retrouver avec le ballon en main comme en début de match. Les Anglais qui avaient décidé de ne pas tirer les pénalités, nous ont donné une leçon de réalisme, l'ailier Watson nous a planté deux essais d’école en moins de dix minutes nous rappelant les temps anciens avec notamment un cadrage débordement qui a laissé le pauvre Dulin, pas vraiment à sa place sur le cul... Seul Picamoles fit illusion se retrouvant bien seul sur le terrain ...
La condition physique était bonne, nos joueurs étaient encore présents en fin de partie, mais courir avec un ballon est devenu tellement compliqué pour eux qu'ils ont dû se limiter à marquer un essai en force. Ce qui vient confirmer que les prestations décevantes des derniers mois n'étaient pas uniquement liées à un problème physique mais bien à une technique individuelle et collective défaillante, et là, le mal profond ne se répare pas en quelques semaines de préparation... 100ème crunch, 55ème victoire pour l'équipe de la Rose.
Bien triste match face à une équipe B anglaise !

Le crunch, le seul événement sportif que nous commentons !

mercredi 12 août 2015

Gioconda - Nikos Kokantzis

C'est un court récit autobiographique, sur un amour, une passion entre deux adolescents le narrateur et Gioconda... Voisins, ils se retrouvent dans le terrain vague qui sépare les deux maisons, avec plusieurs autres camarades, mais il se noue entre eux une complicité. Il y a Rudi, ce cousin de Gioconda, beau, sûr de lui qui vient faire de l'ombre au narrateur mais très vite Giacoma le rassure c'est lui qu'elle aime et les deux adolescents découvrent en toute innocence et par eux-mêmes la douceur des caresses, le plaisir de l'amour...
Cet amour, ils tentent de le vivre pleinement alors que le monde est dans le chaos, que leur pays la Grèce subit l'occupation allemande, et que Giaconda juive est directement menacée par la terreur nazie. Des événements auxquels le narrateur ne reste pas étranger puisque malgré son jeune age , il participe à la résistance par des distributions de tracts ou l'inscription de slogans hostiles à l'occupant. 
Giaconda refuse la clandestinité pour échapper à son funeste destin, elle reste solidaire de sa famille, les Allemands viennent chercher tous les membres de la famille... Seul Rudi est revenu.

Ce livre est le seul écrit par son auteur, c'est une promesse, celle de faire vivre Giaconda: "Les gens meurent seulement quand nous les oublions. Giacoma doit rester vivante aussi longtemps que je vivrai -et plus longtemps que moi. Vivante ainsi que je l'ai connue, s'épanouissant sous mes regards, mes caresses, mes baisers."
Ce récit personnel bouleverse par sa simplicité, la sensualité de ses mots mais aussi parce qu'au delà de cette histoire personnelle, il touche à l'universel et trace le portrait d'un monde disparu celui de la communauté juive de la Grèce Thessalonique. Chaque fois que la littérature dans toutes ses formes retrace le destin d'une victime du nazisme, elle amplifie la défaite des bourreaux dont l'ambition ultime était de nier jusqu'à l'existence même de ses victimes. Giaconda nous le plaçons au coté de Dora Bruder de Patrick Modiano, du  journal d'Héléne Berr ou encore les disparus de Daniel Mendelsohn.

En quatrième de couverture, est cité Dominique A "Le livre que je préfère au monde", comment ne pas partager l’enthousiasme de notre chanteur favori?

lundi 10 août 2015

Le Lac Bleu (Chiroulet)

Certains vont chaque année de Paris à Roubaix en vélo, d'autres allaient au sommet de la roche de Solutré... Nous notre manie lorsque nous sommes du coté des Pyrénées, c'est de grimper au Lac Bleu situé au dessus du Chiroulet, un hameau de la vallée de Lesponne... C'est le lac le plus profond des Pyrénées, cela lui  donne un bleu inégalé.

Il est si beau que nous en avons fait le tour !






dimanche 9 août 2015

Solveig Anspach (8 décembre 1960 - 7 août 2015)

Nous avions vu deux films de Solveig Anspach, cinéaste française d'origine islandaise: Queen Of Montreuil, et Lulu femme nue adaptée d'une bande dessinée de Etienne Davodeau. Si ce dernier film ne nous avait pas convaincu surtout comparé à son précédent, il s'y dégageait aussi une vision du monde sympathique remplie d'humanité. Elle avait un beau regard sur le monde, Solveig Anspach !

mardi 4 août 2015

Quartier de la Trentemoult Rezé




Cité de la banlieue nantaise, Rezé est un parfait exemple de gentrification où les bourgeois de la grande cité sont venus prendre la place des pécheurs dans les maisons situées sur les bords de Loire  dans le quartier de la Trentemoult. Une navette régulière se propose de vous faire traverser le fleuve en moins de deux pour retrouver le centre-ville.
 Rénovées, agrandies, peintes dans des couleurs joyeuses, les maisons disposées de manière irrégulière dans un entrelacs de ruelles étroites donnent à ce quartier un charme fou où le bien vivre semble être la règle commune. Le marché du samedi est évidemment bio, ... Nous nous sommes installés au bord de l'eau en terrasse, dans un bistrot remarquable "le trent" pour y gouter des anguilles en persillade....
Un peu plus loin lorsqu'on se rapproche du périphérique, quand ne nous voyons plus couler l'eau, nous retrouvons des habitats plus populaires, avec notamment en point de mire la cité radieuse conçue par Le Corbusier qui semble t-il au vu des dernières révélations surs ses engagements fascistes ne fut pas le plus grand humaniste du XX° siècle.

lundi 3 août 2015

Chateau de Serrant




Construit sur les vestiges d'une forteresse médiévale dont les douves sont les dernières traces, le Château de Serrant est un  château Renaissance situé au cœur d'un jardin à l'anglaise. Il a su traverser miraculeusement  les chaos de l'Histoire et notamment la Révolution Française . Il présente une unité architecturale assez remarquable alors que sa construction s'est étendue sur trois siècles .
C'est un bel ouvrage mais il mérite avant tout le détour pour le mobilier que l'on découvre tout au long de la visite. Nous retiendrons notamment le cabinet d’ébène de Pierre Gole, un maitre ébéniste du XVII° siècle, précurseur dans son domaine. Un meuble rare et admirable dont il nous fut permis de voir en détail toute la subtilité. Autre morceau impressionnant de la visite, la bibliothèque et ses vingt mille volumes dont parmi eux la première édition de l'Encyclopédie de Diderot et d'Alembert ou celle des Fables de La Fontaine.
Nous passons ainsi les pièces, traversons les siècles à travers le mobilier. Superbe visite !

Nous avons fini notre journée par une virée dans les vignes de Saveniérres et plus précisément dans celles du domaine de Closel où nous avons pris le temps de gouter le vin blanc produit sur ses terres. 



dimanche 2 août 2015

Noirmoutier



Nous avons marché dans le vent le long des salins, avant de prolonger nos pas sur les plages de sable. Nous nous sommes nourris au Roman Bleu, un restaurant accueillant à la cuisine délicate à partir de produits locaux frais  aux parfums subtiles . Nous avons traversé un village de  pécheurs où les touristes ont souvent pris leurs places, puis nous avons vu un château et une église imposante. 
En Vendée, on aime rappeler les souffrances des Chouans durant la Révolution Française .Cela finit toujours par nous agacer... 
C'était notre journée à Noirmoutier !

samedi 1 août 2015

Les bords de Loire à Oudon(Loire-Atlantique)

Les bords de Loire, une traversée des vignes, un verre de Muscadet...Le bonheur simple d'une promenade sous le soleil du coté de Oudon.





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