Dans un coin de Chine, sous la menace des Japonais, Robert Conway, un diplomate anglais organise l'évacuation de ses concitoyens, il finit par monter dans le dernier avion pour Shanghai. Au petit matin, les passagers découvrent que l'avion détourné par un l'équipage chinois fait fausse route ... Il finit par se crasher sur le sommet d'une montagne. Chanceux, les passagers sont secourus par les habitants d'une vallée voisine inconnue, Shangri la... D'abord méfiants, les Anglais découvrent avec le temps la magie de cet endroit paradisiaque, seul le jeune frère du diplomate reste insensible à ce nouveau monde....
C'est une utopie que nous propose Frank Capra, Shangri la est le nom de son bon endroit... mais nous nous somme vite dits: "Qu'est-il allé faire dans cette galère?"
C'est un prêchi-prêcha indigeste de plus de deux heures que nous avons subi. Tout sonne faux dans ce film improbable où les acteurs finissent par tous surjouer . C'est souvent terrible quand les auteurs de la comédies veulent faire dans le sérieux, ils finissent par perdre toute leur légèreté et nous raconter beaucoup moins de choses qu'à travers leurs habituelles tranches de rigolade.
Horizons perdus est un film indigeste de Frank Capra. Vu à l'Arlequin dans le cadre du ciné club de Claude Jean Philippe.
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