Le fils d'un grand financier tombe amoureux de sa dactylo qu'il souhaite épouser. La jeune fille fait partie d'une famille de joyeux bons vivants aimant vivre en communauté dans la joie et la bonne humeur; le financier cherche à acheter leur maison pour réaliser un projet d'envergure, mais le grand père propriétaire n'a que faire de l'argent. La rencontre du monde des affaires et celui de l'utopie s'annonce explosive...
Le bonheur de la comédie américaine, James Stewart et Jean Arthur forment un duo épatant dans ce film fou fou fou au rythme débridé. Annonciateur quelque part des utopies communautaires des années 70, ce film est une charge contre le monde des affaires. Si Bergman règle son compte aux religieux dans Fanny et Alexandre que nous venons de revoir, Capra s'occupe ici des Capitalistes et comme le cinéaste suédois, il se range du coté des hédonistes.
Ce film est un hymne à la vie. Qui ne rêve pas de rejoindre la communauté des Sycomore?
Capra, Capra, encore Capra, pour toute la vie ! Ce film est totalement fou en effet, ça va dans tous les sens, très bon souvenir ! Le duo James Stewart (love) et Jean Arthur (re-love) fonctionne à merveille...
RépondreSupprimerC'est absolument inégalable... et c'était finalement très intéressant de le voir après le Bergman, quelque part il célèbre la même chose!
RépondreSupprimerC'est absolument réjouissant c'est du cinéma à voir en tant de crise