Sidney Lumet commence sa carrière de cinéaste avec Douze Hommes en colère, où il filme un Henry fonda magnifique. Servi par un superbe scénario, il est acclamé par la critique. Même s' il n'a pas révolutionné le langage cinématographique avec ce film plutôt classique dans sa réalisation, on découvre un Lumet critique de la société américaine et de ses dérives populistes.
Il y a eu plus tard l'Homme à la peau de serpent avec Marlon Brando et Anna Magnani qui ne nous a jamais convaincu, nous nous sommes toujours ennuyés devant ce film.
Nous nous souvenons également d'une critique acide du monde la télévision avec "Network main Basse sur la télé"", mais pour l'avoir revu récemment nous lui avons trouvé des longueurs malgré la présence irrésistible de Faye Dunaway et la justesse de ses propos sur la course à l'audimat toujours d'actualité.
Nos préférés restent Serpico et un après-midi de chien, où Sydney Lumet permet à Al Pacino d'exprimer son immense talent tout en gardant un œil critique sur la société américaine corrompue. Le gangster désespéré braquant une banque n'est surement pas le plus grand voleur de la société américaine.
Il termine sa carrière avec un excellent film "7h58 ce Samedi là".
Nous avions chroniqué Un après midi de chien et Serpico, (cliquez sur le titre pour retrouver nos articles)
Il y a eu plus tard l'Homme à la peau de serpent avec Marlon Brando et Anna Magnani qui ne nous a jamais convaincu, nous nous sommes toujours ennuyés devant ce film.
Nous nous souvenons également d'une critique acide du monde la télévision avec "Network main Basse sur la télé"", mais pour l'avoir revu récemment nous lui avons trouvé des longueurs malgré la présence irrésistible de Faye Dunaway et la justesse de ses propos sur la course à l'audimat toujours d'actualité.
Nos préférés restent Serpico et un après-midi de chien, où Sydney Lumet permet à Al Pacino d'exprimer son immense talent tout en gardant un œil critique sur la société américaine corrompue. Le gangster désespéré braquant une banque n'est surement pas le plus grand voleur de la société américaine.
Il termine sa carrière avec un excellent film "7h58 ce Samedi là".
Nous avions chroniqué Un après midi de chien et Serpico, (cliquez sur le titre pour retrouver nos articles)
Rebonjour, j'avais aussi trouvé "7h58, ce samedi là" très bien. J'ai aussi revu The Verdict: Paul Newman est remarquable. 2011 commence mal à tout point de vue. Bonne après-midi.
RépondreSupprimerThe verdict nous ne l'avons jamais vu, il faut absolument que nous réparions cet oubli
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