Nous nous souvenons avoir découvert le cinéma iranien à travers les
films de Abbas Kiarostami. Le premier ce fut le magnifique "Et la vie
continue" un voyage à travers l'Iran sinistré par un tremblement de terre, puis ce fut plus tard "A travers les oliviers" et "Le gout de la cerise" qui lui valut la palme d'or au festival de Cannes, partagée cette année là avec Sohei Immamura et son "Anguille"...
Ce n'est pas rien le cinéma iranien, c'est un cinéma qui nous donne à
espérer un avenir radieux pour un pays dirigé par des mollahs
obscurantistes, le soleil n'est pas loin en Iran.... R.I.P !
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