C'est avec une impatience certaine que nous attendions ce nouveau roman de Jean-Philippe Toussaint, dernier épisode annoncé d'une histoire d'amour pas banale entre le narrateur et Marie. Nous pouvions espérer retrouver nos deux amoureux réconciliés à la fin du précédent "la vérité sur Marie", après un séjour sur l'ile d'Elbe .
Le nouveau roman, s'ouvre sur leur retour à Paris, ils partagent le même taxi, mais Marie laisse seul notre narrateur au pied de son immeuble. Ce dernier attend désespérément son appel, mais rien ne vient, ce silence devient alors un temps de réminiscence qui renvoie notre héros à Tokyo où Marie, créatrice de Haute couture se partageait entre défilé et exposition d'art contemporain.
Le fil semble définitivement rompu entre nos deux anciens amants, mais à chaque fois que tout va mal pour Marie, c'est son vieil amoureux qu'elle appelle au secours, c'est lui qui doit l'accompagner encore une fois à l'ile d'Elbe pour assister aux obsèques d'un vieil ami de la famille.
Marie Madeleine Marguerite de Montalte est au cœur de ces quatre romans, elle fait tourbillonner notre narrateur, le fait chavirer dans la mélancolie,mais il demeure son appui le plus solide, parce qu'il est peut être tout simplement l'homme de sa vie...Mais sa vie professionnelle intense, son insouciance ne lui ont pas fait prendre conscience de son importance... Quatre épisodes majestueux qui ne seraient rien sans la langue merveilleuse de Jean-Philippe Toussaint qui ensorcelle à chaque épisode de ce que les mauvais esprits chafouins pourraient qualifier de feux de l'amour pour bobos parisiens.
Parce que bien loin des niaiseries télévisuelles, la tétralogie de Jean-Philippe Toussaint au rythme toujours haletant est un portrait de notre temps, d'une manière d'aimer différente des siècles passées, parce que Marie dont la beauté ne nous est jamais décrite mais toujours ressentie est une figure universelle de la femme comme pouvait l'être en son temps et dans un registre totalement différent Emma Bovary.
Le nouveau roman, s'ouvre sur leur retour à Paris, ils partagent le même taxi, mais Marie laisse seul notre narrateur au pied de son immeuble. Ce dernier attend désespérément son appel, mais rien ne vient, ce silence devient alors un temps de réminiscence qui renvoie notre héros à Tokyo où Marie, créatrice de Haute couture se partageait entre défilé et exposition d'art contemporain.
Le fil semble définitivement rompu entre nos deux anciens amants, mais à chaque fois que tout va mal pour Marie, c'est son vieil amoureux qu'elle appelle au secours, c'est lui qui doit l'accompagner encore une fois à l'ile d'Elbe pour assister aux obsèques d'un vieil ami de la famille.
Marie Madeleine Marguerite de Montalte est au cœur de ces quatre romans, elle fait tourbillonner notre narrateur, le fait chavirer dans la mélancolie,mais il demeure son appui le plus solide, parce qu'il est peut être tout simplement l'homme de sa vie...Mais sa vie professionnelle intense, son insouciance ne lui ont pas fait prendre conscience de son importance... Quatre épisodes majestueux qui ne seraient rien sans la langue merveilleuse de Jean-Philippe Toussaint qui ensorcelle à chaque épisode de ce que les mauvais esprits chafouins pourraient qualifier de feux de l'amour pour bobos parisiens.
Parce que bien loin des niaiseries télévisuelles, la tétralogie de Jean-Philippe Toussaint au rythme toujours haletant est un portrait de notre temps, d'une manière d'aimer différente des siècles passées, parce que Marie dont la beauté ne nous est jamais décrite mais toujours ressentie est une figure universelle de la femme comme pouvait l'être en son temps et dans un registre totalement différent Emma Bovary.
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